Témoignages

Nous avons fait le choix délibéré de travailler sans commerciaux, uniquement par bouche à oreille, car nos clients sont notre plus belle publicité, jugez en vous même dans ces témoignages

Incendie

Garage du Vexin: une exploitation sauvée de justesse suite à un sinistre incendie

Témoignages : « Je peux dire que sans l’intervention de mon expert d’assuré , aujourd’hui je n’aurais plus rien »

Un incendie, 500 000 euros de dommages et une perte d’exploitation en jeu

En décembre 2007, une intervention de GrDF sur une conduite de gaz devant le Garage du Vexin tourne mal. L’établissement entier part dans un incendie. Laurent Tesson, à la tête de l’affaire depuis six mois, se souvient: «Tout mon commerce a disparu, avec tout le matériel. Les dommages s’élevaient à environ 500 000 euros. Dans un moment pareil on ne sait plus quoi penser, il est difficile de réagir, surtout quand on ne s’y connait pas». Le soir même du sinistre, plusieurs ‘rabatteurs’ d’experts d’assurés viennent le solliciter. « J’ai ressenti leur insistance comme une véritable agression. Je n’étais pas disponible pour les écouter, je n’ai pas donné suite «. Pendant un an Laurent Tesson va batailler seul pour obtenir l’indemnisation incendie de sa compagnie d’assurance. Cette dernière lui verse rapidement une avance de 5000 euros, puis l’oblige à des relances incessantes pour obtenir au compte-gouttes le reste de son dû au titre de son assurance multirisque professionnelle. De plus, celle-ci n’assure sa perte d’exploitation que sur un an. Son avocat, peu spécialisé dans le domaine du sinistre incendie, ne lui est pas d’une grande aide pour éviter de mettre la clé sous la porte.

Antéac: l’expert d’assuré du dernier recours

Au bout d’un an, l’expert comptable de Laurent Tesson lui parle d’Anteac, cabinet d’expert d’assuré. La nouvelle avocate qui a pris en charge son dossier lui confirme la nécessité de faire entrer en scène un expert en assurances, mais côté sinistré. Sur ces recommandations de confiance, Laurent Tesson charge Dominique Pérot de son dossier.»L’approche de Dominique Pérot n’avait rien à voir avec ce que j’avais vu le soir du sinistre incendie. Il a accepté de reprendre mon dossier qui semblait voué à l’échec, un sacré pari. Je peux dire que sans son intervention, aujourd’hui je n’aurais plus rien».

Un travail d’équipe se met alors en place entre Antéac, l’expert comptable et l’avocate de Laurent Tesson. La situation reste d’autant plus urgente qu’il a relancé un nouveau garage deux mois après le sinistre. Grâce à Dominique Pérot, tous les calculs relatifs à l’indemnisation de la compagnie d’assurance sont remis à plat. De quoi valider que son contrat d’assurance a finalement été respecté, tout en révélant de nombreuses insuffisances de couverture, en perte d’exploitation notamment.

Retour à l’équilibre grâce à une nouvelle indemnisation du tiers responsable

Antéac s’est ensuite attelé à des négociations avec GrDF, tiers responsable, pour réclamer les découverts d’assurance. «Dominique Pérot n’a pas lâché le morceau, il a su soulever les points nécessaires pour obtenir une indemnisation de GrDF. Ce qu’il a négocié, ajouté à l’indemnisation de ma propre assurance, m’a permis d’équilibrer mes pertes. A une semaine près, mon nouveau garage a été sauvé, alors que plus aucune banque ne me suivait.». Antéac a ainsi obtenu 82% de sa demande initiale, soit 78% d’indemnisation supplémentaire par rapport à l’indemnisation initiale. Depuis juin 2012, après quatre ans et demi de bataille, Laurent Tesson voit de nouveau l’avenir s’éclaircir. Il conclut «En ouvrant un nouveau garage, j’ai fait une énorme prise de risque. Sans le soutien d’Antéac, de mon expert-comptable et de mon avocate, je n’y serais pas arrivé. Dominique Pérot a réalisé un énorme travail. Si j’avais su, je lui aurais tout de suite confié le dossier pour gagner du temps. Je le recommande sans hésiter».

Témoignage de Laurent Tesson, propriétaire du Garage du Vexin

Incendie du restaurant Chez David, des découverts d'assurance comblés et une réouverture en six mois

Témoignages : « Dominique Pérot n’a rien lâché et nous a soutenus jusqu’au bout »

En avril 2016, le restaurant Chez David à Aulnay-sous-Bois est détruit dans un incendie dû à un court-circuit dans une desserte de froid. « Nous avions mis toutes nos économies dans le restaurant. En quelques heures, mon épouse et moi avons perdu notre exploitation, nos deux emplois et tous ceux de notre équipe » se souvient David Santamaria, restaurateur.

Montant des dommages : plus de 300 000 euros. David Santamaria a immédiatement déclaré le sinistre auprès de son assurance au titre de deux contrats : celui de la SCI propriétaire des murs et celui de la SARL pour l’exploitation. Sur des conseils de confiance de son entourage, il va également contacter Antéac tout de suite après l’incendie.

Mesures d’urgence après l’incendie

Pendant plus de trois mois, impossible d’entamer les travaux avant que les assurances ne réalisent leur expertise à la fin de l’été. En revanche, Antéac a immédiatement procédé à son expertise et même déclaré le sinistre à la Dirrecte. Cette déclaration a permis de couvrir les salaires de l’équipe en chômage technique. « Nous n’aurions pas su faire nous-mêmes les courriers à la Dirrecte. Grâce à Antéac, cette démarche nous a permis de patienter jusqu’à l’expertise des assurances. La trésorerie du restaurant a été épargnée » explique David Santamaria.

Parer des insuffisances d’indemnités

Le contrat d’assurance de la SARL signé en 2007 n’était plus adapté à l’établissement entièrement rénové en 2015. « Les garanties du contrat d’assurance de notre SARL ne permettaient de récupérer que 162.000 euros sur les 200.000 investis quelques mois avant. Nous n’étions pas assez assurés pour espérer rouvrir, il manquait environ 30.000 € » précise David Santamaria.

Face à ce constat, Dominique Pérot a su maximiser les indemnités du contrat d’assurance de la SCI. Antéac a aidé le restaurateur obtenir une indemnisation à hauteur de 84 000 euros pour le bâtiment, de 153.000 euros pour l’agencement et le contenu, de 67 000 euros pour la perte d’exploitation. De quoi rebâtir le restaurant et envisager de nouveau l’avenir.

Une réouverture à peine six mois après l’incendie

Dés septembre 2016, les travaux ont commencé avec des entreprises de confiance ayant travaillé à la rénovation du restaurant l’année précédente. Toutefois, les indemnités d’assurance n’étaient pas encore perçues pour leur verser des acomptes. Antéac a accompagné David Santamaria pour donner des garanties à la banque et assurer des avances aux diverses entreprises.

En novembre 2016, après six mois de fermeture, dont deux de travaux, Chez David a rouvert. Du fait du sinistre, David a pu modifier son agencement en réduisant l’espace du bar pour gagner des tables supplémentaires et donc des couverts en plus, ce qui lui permettra de gagner en rentabilité.

La dernière tranche d’indemnisation a été touchée en janvier 2018 soit 14.700 € d’indemnités supplémentaires pour combler pratiquement tous les découverts d’assurance. « Dominique Pérot n’a rien lâché et nous a soutenus jusqu’au bout. Il a toujours été très disponible, prêt à répondre à nos questions. Sans Antéac, nous n’aurions jamais rouvert » estime David Santamaria.

Témoignage de David Santamaria, restaurant Chez David

Incendie et désordres dus au bailleur dans un Bar Tabac PMU

Témoignages :  » J’ai les nerfs solides et je suis plutôt philosophe mais sans l’aide de M. Pérot, je ne sais pas trop où je serais aujourd’hui « 

En 2006, j’ai repris un bar en région parisienne et les ennuis ont alors commencé. Les toilettes refoulaient et après avoir fait désengorgé plusieurs fois, le problème persista. Les clients sont partis et la réputation de mon bar devint catastrophique. En face de moi, j’avais un bailleur et un syndic avec de gros moyens et qui employaient des conseils face auxquels je ne faisais pas le poids. Heureusement, j’ai été mis en relation avec la société Anteac, expert d’assuré, par mon expert comptable :« Ils aident les victimes de sinistres à obtenir le meilleur dédommagement possible de la part des compagnies d’assurance », m’a-t-il dit.

M. Pérot a été très efficace. Grâce à lui, le bailleur et le syndic ont été assignés et un expert nommé qui a établi que le diamètre des canalisations était trop petit. Je n’en suis pas revenu lorsque j’ai vu le chiffrage des dommages et de la perte financière fait par la société Anteac. Jamais je n’aurais demandé autant. Il faut dire que le bar a été fermé pendant 2 ans parce que le bailleur et le syndic refusaient de faire les travaux. La canalisation a été désengorgée trente fois ! J’y ai perdu mes licences de PMU, du Loto et du tabac. En plus de la perte de chiffre d’affaires, C’est la valeur du fonds lui-même qui était largement diminuée.

Pendant que je me battais par avocats interposés contre le syndic et le bailleur pour leur faire faire les travaux de réparation des canalisations, j’ai aussi eu le droit à un incendie et j’ai du baisser le rideau pendant 6 mois. Là aussi, M. Pérot a été très utile. Dans ces moments-là, on n’est pas au mieux de sa forme. Le sentiment qui domine est plutôt l’abattement. J’étais prêt à me battre pour obtenir gain de cause mais je n’avais aucune idée de ce qui se pratique en pareil cas. Avoir un expert indépendant comme Dominique Pérot fait une énorme différence. 

J’ai cumulé les ennuis pendant 6 ans et quand je regarde ce que j’ai obtenu grâce à M. Pérot en comparaison de ce que j’étais prêt à accepter, je lui suis infiniment reconnaissant. Sans parler du soutien moral que ses interventions ont représenté. Je suis un battant et tant que je suis en vie, je peux me relever, mais sans M. Pérot, je me serais relevé beaucoup plus difficilement et en nettement moins bon état. »

Témoignage de M. Foudad, Gérant

Incendie dévastateur chez Astato : Indemnités maximisées dans chacun des compartiments du contrat d'assurance

Témoignages : « Sans Anteac, nous n’aurions pas été en mesure d’obtenir une indemnisation à la hauteur de la situation »

André Amphoux, fondateur et dirigeant d’Astato
En novembre 2018, les locaux d’Astato sont entièrement dévastés par un incendie d’origine électrique. Bâtiment,
machines et outils, marchandises, atelier et bureaux : tout part en fumée.

Si l’entreprise ne déplore heureusement aucune victime, les dégâts sont considérables. Les pertes avoisinent trois millions d’euros et Astato n’a plus aucun moyen de poursuivre son activité.

Son dirigeant va alors avoir le réflexe de contacter Anteac qu’il connait par ses réseaux professionnels. « J’avais
confiance en Dominique Pérot dont j’avais déjà constaté le professionnalisme. De plus, sa lettre de mission s’est avérée plus
pertinente que celle d’un autre expert d’assuré proposé par notre courtier en assurances » relate André Amphoux, fondateur et
dirigeant d’Astato.

Accompagner d’abord l’après-sinistre

Après un tel sinistre, difficile pour l’équipe de l’entreprise de savoir quelle première initiative prendre. Aussi, en
premier lieu, Anteac a apporté une marche à suivre pour reprendre le travail rapidement : recenser le minimum requis par
l’activité en termes de locaux et d’outils et le remplacer au plus vite.

Sur ces conseils, Astato a pu en six semaines se réinstaller dans un bâtiment provisoire. « La production a pu reprendre quelques semaines à peine après avoir tout perdu, ce qui a minimisé la perte de marge supportée par l’entreprise et rassuré nos clients », souligne André Amphoux.

En parallèle, Anteac a analysé les contrats d’assurance en place, en vue de la négociation avec la compagnie. Un découvert d’assurance est rapidement apparu dans ce contrat en plusieurs compartiments.

L’un de ces compartiments couvrait le bâtiment assuré pour le compte du propriétaire, mais aussi le matériel de production, l’informatique et le mobilier ; un autre couvrait les marchandises, les frais. Cette structure en compartiments se poursuivait, notamment pour couvrir les pertes d’exploitation.

Or, les clauses prévoyaient plusieurs plafonds d’indemnisation évalués trop bas, d’où un découvert d’assurance de 510 000 euros sur plusieurs postes – notamment, plus de 240 000 euros pour les marchandises et 177 000 euros pour reconstruire le bâtiment à l’identique. La mission d’Anteac allait consister avant tout à obtenir le maximum d’indemnités contractuelles pour ne pas creuser l’écart et minimiser les découverts.

Ne rien lâcher face à la compagnie d’assurance

Anteac a mené les négociations avec la compagnie d’assurance sur les montants des indemnités pour les biens
perdus, la reconstruction du bâtiment et la perte d’exploitation qui, quoiqu’écourtée, s’élevait à 230 000 euros. Face à une
équipe d’experts intransigeante dépêchée par la compagnie, Anteac a négocié dans les détails, jusqu’au moindre tarif des
nombreux matériaux nécessaires à la reconstruction du bâtiment.

« Ce type de négociation ne peut être mené que par un expert, et sans Anteac, nous n’aurions pas été en mesure d’obtenir une indemnisation à la hauteur de la situation » note André Amphoux.

Après avoir refusé de premières propositions par la compagnie, Anteac a décroché une offre d’indemnisation à hauteur
de 2, 238 millions d’euros. Les avances permettant la réinstallation provisoire et le redémarrage de production sont arrivées aux moments opportuns.

Aujourd’hui, la reconstruction du bâtiment est en cours et Astato prévoit de s’y installer d’ici mi-2021. L’entreprise
s’appuie dorénavant sur des contrats d’assurance entièrement remis à niveau sur le conseil d’Anteac. Elle a de plus décidé
d’aller en justice pour obtenir du courtier le remboursement du défaut d’assurance des précédents contrats. À cette étape
également, elle compte sur l’expertise d’Anteac qui a été remissionné pour travailler en tandem avec l’avocat choisi pour cette
action.

Dégât des eaux

Inondation chez AMETIS, 20cm d'eau dans les locaux de production suite à un gros orage

Témoignages : « Je conseille vivement en cas de sinistre de se faire assister par un Expert d’Assuré.« 

En juin 2012, la société Ametis fait appel à une société d’Experts d’Assurés, à la suite d’un sinistre: l’inondation des locaux professionnels par un orage violent. « C’est presque un torrent qui s’est précipité dans notre atelier,laissant 20 cm d’eau et pas mal de désordres, non seulement dans l’atelier lui même, mais aussi dans le local destiné au personnel » dit Richard Dabriou, cogérant.

Ametis est satisfait de l’intervention de la société Anteac pour plusieurs raisons: Monsieur Pérot s’est rendu sur place rapidement, donnant des conseils avisés et nous permettant de reprendre notre activité tout en conservant les preuves du sinistre. Lors de la visite de l’expert de l’assurance, il était aussi à nos côtés donnant les explications nécessaires. Il nous avait fait préparer le rendez vous et connaissait son dossier.

En effet l’activité de la société Ametis est particulière : nous collectons et revalorisons les cartouches vides d’impression (laser et jet d’encre) les trions et démantelons en vue de récupérer les différentes fractions valorisables destinées au marché du recyclage de matières premières. Ce qui veut dire que notre matière première est un déchet industriel, augmenté de coûts de transports. De plus, une fois contaminées par de l’eau, ces cartouches sont inutilisables et doivent être éliminés réglementairement comme déchets dangereux, à des coûts très onéreux.

Comment faire indemniser une détérioration de matière première constiruée de déchet industriel ?

En début d’expertise, à écouter l’expert de l’assurance, c’est tout juste si nous ne l’avions pas dérangé pour rien : Matière première sans valeur, peu ragoutante… dont il s’imaginait qu’il suffisait de la mettre à la décharge publique pour s’en débarrasser.., une production repartie très rapidement, bref des préjudices peu patents.

Et pourtant…il existait des chefs de préjudices, et des garanties à activer

À la fin de la visite d’expertise et grâce à l’expert d’assuré, les cubages avaient été estimés, contrôlés, ainsi que les différents devis de transports et d’élimination réglementaire, recueillis au préalable, et un accord d’indemnisation nous satisfaisant était signé entre les parties. Très vite, la société Ametis a été indemnisée pour les différents chefs de préjudices : perte d’exploitation, perte de matière première et destruction de marchandises.

Rapidité de l’indemnisation

« Seuls, nous n’aurions pas réussi à nous préparer ni à prouver nos préjudices : l’expertise des dommages va vite, quand on n’est pas familier du processus. Il y a beaucoup d’information qu’il faut donner, au bon moment, et donc qu’il faut avoir préparé. Je n’étais pas conscient, notamment, de la rapidité du règlement, vitale pour nous, règlement qui aurait pu s’enliser sans expert d’assuré.

Derrière les échanges entre experts, dont je n’ai perçu que la surface, je devine qu’il il y a beaucoup d’enjeux, qui doivent se traduire par plus ou moins d’indemnisation. Je suis très satisfait de la société Anteac, et Je conseille vivement en cas de sinistre de se faire assister par un Expert d’Assuré»

Témoignage de Richard Dabriou, Cogérant de la société Ametis

Perte d’exploitation

Dégât des eaux usées dans une galerie d'Art, perte d'exploitation induite, oeuvres d'art non assurées

Témoignages : Ma galerie d’art se trouve au rez-de-chaussée d’un immeuble.

Il y a dix-huit mois environ, comme chaque matin, j’arrive vers 10 heures et je lève le rideau de fer. J’ouvre la porte et avant d’avoir le temps d’atteindre l’interrupteur électrique, une odeur forte et très désagréable me soulève le coeur. Je devine tout de suite un problème de sanitaire et me dirige vers les toilettes, mais ayant fait à peine 3 pas, je me rends compte que le sol est détrempé. Je m’arrête net, pensant instantanément aux oeuvres d’art dont quelques-unes sont posées à même le carrelage. Je regarde autour de moi et mes yeux s’étant habitués à la pénombre, je constate que plusieurs tableaux trempent dans une substance liquide nauséabonde.

Les canalisations de l’immeuble avaient été bouchées et le trop-plein s’était répandu chez moi. Les jours et les semaines qui suivirent restent un de mes plus mauvais souvenirs professionnels. La galerie dût rester fermée pendant 3 mois et certaines oeuvres non assurées furent irrécupérables. Lorsque la compagnie me communiqua le montant des indemnités, je me sentis lésé mais incapable de me battre. Je ne savais plus ou donner de la tête et j’étais impuissant face aux assureurs.

J’allais me résigner à ne pas rouvrir la galerie mais une relation à qui j’en parlai me recommanda de contacter la société Antéac, Expert d’assuré : « Il aide les victimes de sinistres à obtenir le meilleur dédommagement possible de la part des compagnies d’assurance ».

J’ai hésité, pensant que ce ne serait qu’une charge de plus mais j’ai tout de suite apprécié leprofessionnalisme et la courtoisie de M. Pérot. Il m’a traité avec considération et j’en avais bien besoin. Il s’est battu pour moi et sans lui, je ne pesais pas grand-chose. Je n’avais aucune chance d’obtenir gain de cause. M. Pérot connaît bien les compagnies d’assurance. Il parle leur langue et traite d’égal à égal avec elles.

Il a obtenu une indemnisation pour l’agencement, une autre pour la perte d’exploitation et plus incroyable, une troisième pour les oeuvres d’art qui n’étaient pas assurées. Grâce à tout cela, j’ai pu indemniser les artistes, sauvegarder ma réputation, rouvrir la galerie et équilibrer mes comptes en fin d’année. La cerise sur le gâteau : la rémunération de M. Pérot a été entièrement prise en charge par le tiers responsable. Cet épisode reste un mauvais souvenir mais je suis extrêmement reconnaissant envers M. Pérot pour son soutien et les résultats qu’il a obtenus!

Témoignage de Marc Faugeras, Galerie d’art « Orphée Art », Villefranche –sur-Mer

Vols & cambriolages

Cambriolage et vol dans un appartement

moignages : Ma femme et moi étions en vacances à l’étranger et nous avions confié nos deux jeunes enfants âgés de 8 et 10 ans à la garde de ma belle-mère qui s’était donc installée chez nous pour deux semaines. Un après-midi, la grand-mère part avec ses deux petits-enfants, dépose son petit-fils chez un ami et revient une demi-heure plus tard avec sa petite-fille. Alors qu’elle s’approche de la porte d’entrée, elle entend du bruit à l’intérieur. Inquiète mais courageuse, elle tente d’ouvrir : impossible, quelque chose bloque la porte. Elle insiste et parvient à faire tomber le tabouret qui avait été placé là pour empêcher l’ouverture. Le coeur battant, elle laisse sa petite-fille devant l’entrée et pénètre dans la maison. Tout est sens dessus dessous. On dirait qu’un ouragan est passé par là. Les meubles sont retournés, les tableaux décrochés dont certains sont brisés. Les tiroirs sont ouverts et leur contenu renversé sur le sol. La baie vitrée qui donne sur le jardin est ouverte : les cambrioleurs ont dû fuir par là.

La grand-mère retourne chercher sa petite-fille et ne peut lui épargner le choc de voir sa maison saccagée. Elle la calme autant que possible et appelle la police. Les agents font le tour de la maison, notent les dégâts. Les voleurs n’ont pas fait dans le détail : ils ont pris les quelques bijoux appartenant à ma femme et même les bijoux fantaisie de notre fille de 8 ans. Ils ont aussi fouillé le congélateur dans le garage. Il paraît que c’est une cachette souvent utilisée.

Le policier responsable fait signer son rapport par ma belle-mère, rapport qui stipule qu’aucun signe d’effraction n’a été constaté. 

Revenu de vacances, j’envoie ma déclaration de sinistre à la compagnie d’assurance qui me répond assez rapidement qu’étant donné qu’il n’y a aucun signe d’effraction, les vols et dégradations ne sont pas couverts par le contrat. J’enrage.

Une amie nous parle de M. Dominique Pérot, Expert d’assuré vol de la société Anteac : « Il aide les victimes de sinistres à obtenir le meilleur dédommagement possible de la part des compagnies d’assurance ». Ne sachant pas du tout comment m’y prendre, je l’appelle à l’aide immédiatement.

Il n’a pas fallu très longtemps à M. Pérot pour comprendre comment les voleurs étaient entrés dans la maison en manipulant la baie vitrée qui donne sur notre jardin. « Regardez, m’a-t-il dit, voilà comment ils ont fait, et voici la trace qu’ils ont laissée ». Je n’en revenais pas. J’avais passé des heures à tout examiner et je n’avais rien vu. Grâce à cela, l’assurance a envoyé un expert qui a confirmé le constat de M. Pérot et nous avons été indemnisés. Je n’aurais rien obtenu sans lui et je me rends compte que même lorsqu’on est dans son droit, on a tout intérêt à se faire défendre par un professionnel qui connaît toutes les ficelles.

Témoignage de M. Mouchet

Cambriolage dans une entreprise de pâtisserie industrielle :

« Anteac m’a permis de procéder dans les règles de l’art et de ne laisser aucune brèche ouverte à un refus de dédommagement » – Dirigeant, entreprise de pâtisserie

Témoignages : En janvier 2018, une petite entreprise de pâtisserie industrielle subit une effraction dans ses locaux : 2.5 tonnes de marchandises ont été volées et 3 tonnes de marchandises restantes, vandalisées. Au total, 95 000 euros de marchandises sont perdus. Autre dommage collatéral: la remise en cause de des livraisons annuelles de pâtisseries orientales à la grande distribution. Or ce temps fort, où se jouent 90 % du chiffre d’affaires de la pâtisserie, intervient chaque année entre février et mars, soit quelques semaines après le sinistre. Sous le choc, le dirigeant de l’entreprise se renseigne pour trouver de l’aide et identifie Anteac.

Il relate : «J’ai appelé Anteac sans avoir encore chiffré les dommages, pour exposer la situation dans les grandes lignes. Dominique Pérot a tout de suite été très réactif et à l’écoute. »

Dédommager les marchandises perdues

En premier lieu, Anteac s’est penché sur le contrat d’assurance de l’entreprise, laquelle a tout de suite déclaré le sinistre et porté plainte. Un débat va s’engager sur le volume des marchandises à prendre en compte : pour l’assureur de l’entreprise, seules les marchandises volées sont concernées. Or, les pâtisseries laissées sur place sont invendables, car elles présentent un risque sanitaire suite à l’acte de vandalisme. L’enjeu est de taille : 55 000 euros de différence entre la perte totale de 95 000 euros et la valeur des seules pâtisseries volées de 40 000 euros. Anteac conseille alors son client la marche à suivre : obtenir un constat d’huissier sur les marchandises volées et une attestation par une entreprise spécialisée en déchets alimentaires, confirmant le risque sanitaire des pâtisseries restantes. « Ce conseil d’expert est exactement ce que je cherchais. Anteac m’a permis de procéder dans les règles de l’art et de ne laisser aucune brèche ouverte à un refus de dédommagement sur une partie de la marchandise » souligne le patron de l’entreprise. D’où un premier résultat : l’assurance va dédommager l’entreprise de l’intégralité de ses marchandises et lui verser 95 000 euros en mars 2018.

Faire reconnaître une perte de chiffre d’affaires de plus de 500 000 euros

Ce dossier va connaître un rebondissement. En effet, l’entreprise de pâtisseries orientales travaille exclusivement avec la grande distribution. Obligations contractuelles obligent, son dirigeant a prévenu les centrales d’achat du sinistre subi. S’ensuit une perte de confiance chez ses clients qui, pour éviter tout défaut de livraison, ne vont pas passer la commande annuelle habituelle, mais la diviser par deux. Résultat : un perte de plus de 500 000 euros de chiffre d’affaires évaluée en juin, que le patron de l’entreprise n’avait pas prévue. Il décide alors de solliciter de nouveau son assureur, avec qui une nouvelle négociation démarre. Au cœur des discussions : le distinguo entre vol et vandalisme, pour lesquels les garanties de l’assurance perte d’exploitation de l’entreprise ne prévoient pas les même taux de dédommagement – respectivement 15 % et 75 % du chiffre d’affaires perdu. Les négociations menées par Anteac aboutissent à une reconnaissance par l’assureur d’une perte d’exploitation. Mais la première proposition prend en compte uniquement le cas du vol, pour un dédommagement de 50 000 euros. La négociation va se poursuivre, pour statuer sur une répartition 50/50 entre vol et vandalisme, sur le montant en jeu. Au final, l’entreprise reçoit de sa compagnie d’assurance plus de 400 000 euros, selon les seuils les plus élevés prévus par sa police d’assurance.

Pour son dirigeant, « Cette bataille aura duré un an et demi. Dominique Pérot a apporté au dossier son expertise, son énergie et sa très grande réactivité. Son soutien a aussi été primordial aux moments les plus difficiles à vivre. »

Témoignage recueilli par Isabelle Grégorat

Responsabilité civile

Responsabilité civile d'une entreprise de peinture engagée à tort : Une réclamation repoussée en quinze jours

Une petite entreprise de peinture se voit confier le rafraîchissement d’un cabinet de radiologie pendant sa fermeture estivale. Au retour, le radiologue constate que le tube générateur de rayons X est en service depuis un mois. Sa réclamation à l’entreprise de peinture seule présente sur les lieux pendant l’été: 15.000 euros de dédommagement pour remplacer la pièce.

L’éclairage de l’expert d’assuré

Témoignages : L’entreprise mise en cause se retrouve alors dans une situation qui semble sans issue pour son dirigeant : sa facture de 5.000 euros de travaux est en péril, la réclamation représente trois fois ce montant, de plus, son assurance Responsabilité Civile Professionnelle (RCP) vient d’être résiliée sans que sa compagnie ne justifie cette décision. Ainsi, l’entreprise se retrouve exposée au paiement d’une indemnisation lourde à ses frais, voire à un dépôt de bilan. Son dirigeant fait alors appel à Anteac et lui soumet le dossier.

Représenter le client

L’issue qui se profile est la plus dommageable pour la petite entreprise de peinture démunie d’assurance RCP. Lors de l’expertise, l’échange a tout de suite été orienté vers un point essentiel : le manque de preuve que l’appareil a été mis en service par l’artisan ainsi que quelques autres points plus techniques, ce qui offre la possibilité d’ajouter trois commentaires au PV d’expertise, chacun d’eux permettant à Anteac de repousser la réclamation et empêchant donc la compagnie d’assurance du radiologue de se retourner contre l’artisan. La réclamation est donc repoussée, ce seulement quinze jours après la mise en cause de l’entreprise de peinture. L’entreprise cliente d’Anteac n’a pas eu à se rendre à l’expertise contradictoire, son expert d’assuré la représentant. Sans l’expertise d’Anteac, l’artisan n’aurait pas su seul orienter la discussion vers l’argument irréfutable et n’aurait pas identifié le manque de pertinence de la réclamation.

Retour rapide à la normale

La négociation menée par Anteac a permis à son client d’éviter de lourdes pénalités sans pouvoir recourir à sa RCP. L’entreprise mise en cause a ainsi échappé à une dégradation sérieuse de sa trésorerie qui aurait pu la conduire au dépôt de bilan. Autre intérêt de l’intervention d’Anteac : un approche d’expert, rationnelle. Cet accompagnement a été crucial et rassurant pour le dirigeant de TPE sans point de repère dans les règles de l’assurance et déstabilisé à la réception de la lettre initiale de mise en cause.

Dégagée de toute responsabilité dans l’incident, cette petite entreprise de peinture a pu rapidement reprendre son activité en toute sérénité.

Témoignage recueilli par Isabelle Grégorat

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