TITRE

Tentative d’escroquerie… par l’assurance ?!
prenez tout d ememe Un sinistré incendie est invité à signer sa lettre d’acceptation, envoyée chez l’agent d’assurance.
Ce dernier lui tend la feuille, mais c’est pour signature immédiate, pas question de l’emporter pour étudier la proposition de la compagnie à tête reposée.
Le sinistré se méfie et nous appelle.
Il a bien fait.
Car il semble bien que la lettre en question comportait un codicille singulier qui déléguait l’indemnité de reconstruction à une entreprise agréée.
Or, la construction initiale ayant été faite sans permis, (c’est une construction sauvage) jamais l’entreprise n’aurait reconstruit sans permis de construire….
…et donc jamais l’assurance n’aurait eu à verser l’indemnité de reconstruction. Là était l’astuce.
S’il avait signé, le sinistré n’aurait pas touché l’indemnité de reconstruction de sa maison.
Grâce à nous, le sinistré a finalement touché la partie dite immédiate de l’indemnité soit environ 100.000 €. Il touchera le l’indemnité dite différée (environ 25.000 €) s’il reconstruit et donc s’il obtient un permis de construire.
Alors, y a t’il eu tentative d’escroquerie ou voyons nous le mal partout ? A vous de juger.
Alors si l’on vous tend un papier à signer sans vous laisser le temps de la réflexion…
prenez quand meme ce temps de réflexion…
… et appelez nous !

Comment MMA a piqué 350 M€ à ses assurés
La réalité plus forte que l’imagination…
L’assureur MMA aurait-il piqué « 350 millions à ses clients »? C’est ce qu’affirme le Canard Enchainé, dans son édition du mercredi 27 septembre 2017. Une accusation appuyée par un document censé être « strictement confidentiel » et destiné uniquement au comité exécutif de MMA, soit les dirigeants les plus hauts placés de l’assurance, mais que l’hebdomadaire a réussi à se procurer.
Selon ce document, daté du 9 mai 2011, plusieurs millions de sociétaires de MMA auraient souscrit, à leur insu, un emprunt que MMA leur aurait imposé pour constituer un « fonds social complémentaire ». Autre problème, le prêt n’a jamais été remboursé à la grande majorité des souscrivants, avance le Canard. La dette à l’égard des sociétaires serait estimée à 260 millions d’euros, 350 millions en comptant les intérêts.
L’assureur aurait émis ces prêts obligatoire -pour ses clients- entre 1972 et 1988, alors que sa « solvabilité nécessitait d’être renforcée », indique le document cité par le Canard. Leur cotisation est faible, de quelques euros par ans, et ils sont censés être remboursés au bout de vingt ans, assortis d’un intérêt de 5% par an. Sauf que les assurés ne s’aperçoivent pas qu’ils cotisent, et ne songent donc pas à réclamer le remboursement dû, sauf « environ dix [sociétaires] par an », claironne le document confidentiel.
Et comme MMA n’avait « aucune obligation d’information à l’égard des sociétaires ayant souscrits au fonds social », l’assureur s’est bien gardé de le leur rappeler. Mieux encore, du moins pour MMA, le délai légal de prescription de la dette, auparavant de 30 ans, a été ramené à cinq ans en 2008. Les actions en remboursement ne sont donc plus possibles depuis 2013, au lieu de 2027 avant le changement de la loi.
Interrogé par le Palmipède, l’assureur a confessé que « les comptes 2013, arrêtés en assemblée générale en juin 2014, ont constaté un produit exceptionnel », liés à la prescription de la dette, donc. Légalement dans les clous, MMA ne risque probablement rien.
Pas sûr, en revanche, que l’article du Canard épargne l’image de l’assureur. MMA jugeait pourtant « peu probable », dans sa note « confidentielle » de 2011, que les articles de presse sur le sujet rencontrent un écho significatif, tant que les enjeux financiers du fonds social ne sont pas connus ». C’est désormais chose faite.
« MMA zéro tracas, zéro blabla » et un zéro pointé aussi…


Comment MMA a piqué 350 M€ à ses assurés
La réalité plus forte que l’imagination…
L’assureur MMA aurait-il piqué « 350 millions à ses clients »? C’est ce qu’affirme le Canard Enchainé, dans son édition du mercredi 27 septembre 2017. Une accusation appuyée par un document censé être « strictement confidentiel » et destiné uniquement au comité exécutif de MMA, soit les dirigeants les plus hauts placés de l’assurance, mais que l’hebdomadaire a réussi à se procurer.
Selon ce document, daté du 9 mai 2011, plusieurs millions de sociétaires de MMA auraient souscrit, à leur insu, un emprunt que MMA leur aurait imposé pour constituer un « fonds social complémentaire ». Autre problème, le prêt n’a jamais été remboursé à la grande majorité des souscrivants, avance le Canard. La dette à l’égard des sociétaires serait estimée à 260 millions d’euros, 350 millions en comptant les intérêts.
L’assureur aurait émis ces prêts obligatoire -pour ses clients- entre 1972 et 1988, alors que sa « solvabilité nécessitait d’être renforcée », indique le document cité par le Canard. Leur cotisation est faible, de quelques euros par ans, et ils sont censés être remboursés au bout de vingt ans, assortis d’un intérêt de 5% par an. Sauf que les assurés ne s’aperçoivent pas qu’ils cotisent, et ne songent donc pas à réclamer le remboursement dû, sauf « environ dix [sociétaires] par an », claironne le document confidentiel.
Et comme MMA n’avait « aucune obligation d’information à l’égard des sociétaires ayant souscrits au fonds social », l’assureur s’est bien gardé de le leur rappeler. Mieux encore, du moins pour MMA, le délai légal de prescription de la dette, auparavant de 30 ans, a été ramené à cinq ans en 2008. Les actions en remboursement ne sont donc plus possibles depuis 2013, au lieu de 2027 avant le changement de la loi.
Interrogé par le Palmipède, l’assureur a confessé que « les comptes 2013, arrêtés en assemblée générale en juin 2014, ont constaté un produit exceptionnel », liés à la prescription de la dette, donc. Légalement dans les clous, MMA ne risque probablement rien.
Pas sûr, en revanche, que l’article du Canard épargne l’image de l’assureur. MMA jugeait pourtant « peu probable », dans sa note « confidentielle » de 2011, que les articles de presse sur le sujet rencontrent un écho significatif, tant que les enjeux financiers du fonds social ne sont pas connus ». C’est désormais chose faite.
« MMA zéro tracas, zéro blabla » et un zéro pointé aussi…

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