TITRE
Remerciements d’une victime de vol de bijoux… indemnisée grâce àson Expert d’Assuré et malgré un vol SANS effraction
SMS de remerciement d’une cliente nous ayant missionné, face à l’expert de sa compagnie d’assurance :
« Bonjour, mon agent d’assurances est venu m’apporter mon chèque. Il avait l’air totalement admiratif, c’est la première fois qu’il voit quelqu’un « extorquer » (sic) une telle somme à sa compagnie d’assurances. » [NDLR: indemnisation de 30.000€ pour vol de bijoux par ruse, indemnisation au taquet de son contrat]
Admiratif ? certes, surtout lorsqu’on sait que l’agent avait initialement refusé de prendre la déclaration de vol, arguant du fait qu’il n’y avait pas eu d’effraction, et que s’il n’y avait pas eu effraction, il n’y avait pas eu vol.
Nous [Expert d’Assuré] avons rappelé à sa compagnie d’assurances que le contrat de la victime garantissait le vol par ruse, ce qui était le cas.
Il n’en reste pas moins que le terme employé par la cliente victime est très probablement révélateur de l’état d’esprit de l’agent d’assurance en question : pour lui ce serait une extorsion (signifiant que l’indemnisation ne serait pas justifiée), alors que pour nous c’est le remboursement d’un réel préjudice estimé de manière contradictoire et donc reconnu par la Compagnie….
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
Remerciements d’une victime de vol de bijoux… indemnisée grâce àson Expert d’Assuré et malgré un vol SANS effraction
SMS de remerciement d’une cliente nous ayant missionné, face à l’expert de sa compagnie d’assurance :
« Bonjour, mon agent d’assurances est venu m’apporter mon chèque. Il avait l’air totalement admiratif, c’est la première fois qu’il voit quelqu’un « extorquer » (sic) une telle somme à sa compagnie d’assurances. » [NDLR: indemnisation de 30.000€ pour vol de bijoux par ruse, indemnisation au taquet de son contrat]
Admiratif ? certes, surtout lorsqu’on sait que l’agent avait initialement refusé de prendre la déclaration de vol, arguant du fait qu’il n’y avait pas eu d’effraction, et que s’il n’y avait pas eu effraction, il n’y avait pas eu vol.
Nous [Expert d’Assuré] avons rappelé à sa compagnie d’assurances que le contrat de la victime garantissait le vol par ruse, ce qui était le cas.
Il n’en reste pas moins que le terme employé par la cliente victime est très probablement révélateur de l’état d’esprit de l’agent d’assurance en question : pour lui ce serait une extorsion (signifiant que l’indemnisation ne serait pas justifiée), alors que pour nous c’est le remboursement d’un réel préjudice estimé de manière contradictoire et donc reconnu par la Compagnie….
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
Remerciements d’une victime de vol de bijoux… indemnisée grâce àson Expert d’Assuré et malgré un vol SANS effraction
SMS de remerciement d’une cliente nous ayant missionné, face à l’expert de sa compagnie d’assurance :
« Bonjour, mon agent d’assurances est venu m’apporter mon chèque. Il avait l’air totalement admiratif, c’est la première fois qu’il voit quelqu’un « extorquer » (sic) une telle somme à sa compagnie d’assurances. » [NDLR: indemnisation de 30.000€ pour vol de bijoux par ruse, indemnisation au taquet de son contrat]
Admiratif ? certes, surtout lorsqu’on sait que l’agent avait initialement refusé de prendre la déclaration de vol, arguant du fait qu’il n’y avait pas eu d’effraction, et que s’il n’y avait pas eu effraction, il n’y avait pas eu vol.
Nous [Expert d’Assuré] avons rappelé à sa compagnie d’assurances que le contrat de la victime garantissait le vol par ruse, ce qui était le cas.
Il n’en reste pas moins que le terme employé par la cliente victime est très probablement révélateur de l’état d’esprit de l’agent d’assurance en question : pour lui ce serait une extorsion (signifiant que l’indemnisation ne serait pas justifiée), alors que pour nous c’est le remboursement d’un réel préjudice estimé de manière contradictoire et donc reconnu par la Compagnie….
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
8) pour une petite supérette incendiée pour laquelle nous travaillons en ce moment à l’indemnisation, cela fait tout de meme 32k€ d’argent public qui arriveront donc in fine sur le résultat net d’AXA, dont nous conviendrons tous qu’il n’en a pas besoin.
1) Depuis le gouvernement Valls, la DIrection Regionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi) indemnise partiellement le chômage technique des sociétés subissant un sinistre (par exemple incendie)
2) C’est ainsi que la DIRECCTE prend en charge jusqu’à 1000 heures par an (et par salarié) en chômage technique, permettant un maintient de salaire. Ce qui est vu comme un soutient aux entreprises traversant des difficultés.
3) Par ailleurs, une entreprise assurée contre les pertes d’exploitations pour cause de sinistre est normalement indemnisée des salaires versés (à la condition qu’elle reprenne son activité à la fin de la période sinistrée). En effet les salaires sont considérés comme des charges fixes et les assurances pertes d’exploitation indemnisent les charges fixes et donc les salaires.
4) Cependant le code des assurances spécifie qu’il n’est pas possible de faire des bénéfice sur le dos des assurance (ce qui parait normal).
5) Si l’entreprise de reprend pas ses activités, les salariés sont licenciés et l’affaire s’arrête là.
6) Mais si l’entreprise reprend ses activités, la compagnie d’assurance verse la perte d’exploitation, mais en conséquence du 2) et du 3) soustrait de ses versements
a) le montant des versements de la Direccte,
b) le montant des charges sociales ainsi économisées.
7) Sauf à ce que les compagnies d’assurance remboursent la Direccte, (ce dont nous ne sommes pas informés et dont nous doutons) tout l’argent versé par des fonds publics pour soutenir les entreprises victimes de sinistre atterrit directement dans la ligne « bénéfice net » des compagnies d’assurances, pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires.
Elle n’est pas belle la vie ?
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